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Camion-citerne
Réduire l’empreinte carbone dans le transport énergétique : quelles solutions ?

Le transport de produits pétroliers est un secteur indispensable au fonctionnement des économies africaines. Pourtant, il est aussi l’un des plus exposés aux critiques environnementales. Chaque trajet effectué par un camion-citerne entraîne une consommation de carburant, donc des émissions de CO₂, auxquelles s’ajoutent les risques de pollution liés à la manutention. Alors, comment concilier cette nécessité économique avec l’urgence climatique ?

Chez Transsivo, cette question n’est pas théorique. Elle se vit au quotidien, sur le terrain, dans chaque livraison.

Un camion de 40 tonnes qui parcourt 500 kilomètres consomme en moyenne près de 150 litres de diesel. Multiplié par le nombre de rotations nécessaires pour alimenter stations-service, centrales et industries, l’impact est considérable. À cette consommation directe s’ajoute l’usure des véhicules, les embouteillages qui augmentent le temps de trajet, et parfois même les détours dus à l’état des routes.

C’est donc un double défi : maintenir la continuité énergétique du pays tout en réduisant les émissions associées.

Un exemple concret : lorsqu’un camion-citerne récent, équipé de moteurs Euro 5 ou Euro 6, est utilisé à la place d’un vieux modèle, les émissions de particules fines chutent de près de 80 % (Agence Internationale de l’Énergie, 2023). C’est pourquoi Transsivo investit progressivement dans une flotte plus moderne, moins gourmande en carburant et conforme aux standards internationaux.

« les acteurs du transport qui anticipent les défis environnementaux seront les leaders de demain »

(Nations Unies, 2022)

En Côte d’Ivoire, il arrive qu’un camion parte du port d’Abidjan pour livrer du carburant à Korhogo, à plus de 600 kilomètres. Une mauvaise planification peut rallonger inutilement ce parcours, avec des conséquences directes sur la consommation et les émissions. Grâce aux systèmes de géolocalisation et de suivi digital, Transsivo réduit ces kilomètres superflus, améliore la fluidité des trajets et économise du carburant.

La technologie ne suffit pas : l’humain reste au cœur du processus. Des études montrent qu’une conduite plus souple, sans accélérations brutales ni freinages excessifs, peut réduire la consommation de 10 à 15 %. Chez Transsivo, chaque chauffeur est sensibilisé à ces pratiques, car la réduction de l’empreinte carbone commence par des gestes simples mais répétés jour après jour.

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